Issu de culture bourguignonne, Lucien est un fervent défenseur des mono-cépages. L’expression des terroirs est, selon lui, difficile à travers un assemblage de différents cépages (à l’exception des co-plantations). Il est convaincu que cette expression ne peut se faire qu’avec des raisins issus de l’agriculture biologique. Cette démarche « puriste » dans les vignes déborde allègrement sur le travail en cave où aucun intrant chimique n’a sa place (levure indigène, pas d’enzymage, pas d’acidification, etc.).